La chaîne pénale a manifesté sa colère devant le Tribunal de Grande Instance de Metz jeudi 10 février. Un rassemblement qui a pu compter dans ses rangs 200 à 250 magistrats, surveillants pénitentiaires ou encore avocats pour exprimer leur mécontentement face à la récente déclaration de Nicolas Sarkozy dans l’affaire de Pornic, ressentie par beaucoup comme un désavoeu du travail judiciaire effectué.